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Midinettes et autres ravissantes..

 

Nom féminin, qui apparaît à la fin du XIXe siècle. Composé à partir de midi et de dînette. Familier: Nom donné à l'origine aux jeunes ouvrières parisiennes de la mode qui, à midi, se contentaient d'un repas sommaire. Par extension, personne sentimentale et naïve. Une âme de midinette. Jeune citadine naïve, sentimentale et frivole...

  Étymologie

Un poème : Midinettes  

Les plus jolies filles d’Occupy Wall Street

"Guide des jolies femmes de Paris" 

Eloge de la Parisienne au XVIII ème siècle     Et au XXI e

Et au Liban...

    Autres poèmes  

    Un peu d'histoire :

1917, La grève joyeuse des midinettes

L'avenir de l'homme ... 

  Il y a trop de femmes !

 

 


1. « jeune employée de couture parisienne ». Attesté depuis 1890 dans le "Journal amusant", par la légende d'un dessin de Henriot : "La sortie à midi : Une heure pour déjeuner chez le 'chand de vin ; un hareng, deux sous de frites… Très gentilles, les petites midinettes". 
2. « jeune fille à la sentimentalité naïve ». Attesté depuis 1922 chez Martin du Gard.

Tiré de cnrtl.fr/etymologie/midinette 

 

Un Poème:

 

Midinettes

Les midinettes
Sortent des cours
A midi pile.
A midi net,
Au Luxembourg
Se désopilent
Pour leur dînette
C'est un concours
De sex-appeal

 

De vieux messieurs oisifs tout à fait respectables,
Assis de loin en loin sur les chaises du parc,
Regardent en souriant ce si charmant spectacle
Il est bien loin le temps où Éros et son arc...
La canne entre les jambes et la main en visière
A l'amicale des boules dont ils ont été membres
Tirant sans trop y croire sur une pipe en bruyère
Parfumés de jeunes filles qui graciles se cambrent.

Le soir à la maison, déçus par leur compagne
Ces vieux messieurs rosis auront la tête ailleurs
Alors, en sirotant une coupe de champagne
Se diront la jeunesse rend le monde meilleur.

© Patrice Leconte, dans " Nous sommes tous des poètes"- 

sur une idée de Michel Tauriac, Plon éditions.

Les plus jolies filles d’Occupy Wall-Street

"Le soupir d'une jolie fille s'entend plus loin que le rugissement d'un lion", dit un proverbe arabe. De fait, nombre de mouvements révolutionnaires ont eu leur égérie, leur figure de proue, leur incarnation romantique. 

Le mouvement Occupy Wall Street, version américaine des "indignés", n'échappe pas à la règle. Un blog, Hot Chicks of Occupy Wall Street ("Les jolies filles d'Occupy Wall Street") se propose même de mettre en ligne photos et vidéos des plus jolies filles participant au mouvement de contestation. 

Hot Chicks of Occupy Wall Street from Steven Greenstreet on Vimeo.

Présentation et commentaires dans bigbrother.blog.lemende.fr

Commentaires

 

"Guide des jolies femmes de Paris"

 « Les plus grandes merveilles de Paris ne sont pas au Louvre.

Les plus grandes merveilles de Paris sont rue Montorgueil. Là, dans une ambiance étourdissante de feu d’artifice et de jardin d’Éden, les jeunes femmes les plus belles arborent les tenues les plus indécentes et font admirer au rythme de leurs pas pressés des jambes nues et des poitrines hautes. Là, les fesses rebondissent en souriant, les teints hâlés distillent des promesses de luxure et des voilages légers laissent deviner jusqu’à l’extase des petits tétons sautillants.

La règle du jeu est simple, rue Montorgueil : le mouvement compense l’impudeur. Le rythme urbain donne en effet à cet étonnant spectacle une furtivité permanente et lui impose une tension inouïe. À peine entr’aperçues, les filles disparaissent à jamais, laissant au spectateur haletant le sentiment d’un holocauste perpétuel. Dans chaque silhouette qui s’éloigne résonne ainsi tout le tragique de l’humaine condition : la finitude de l’expérience et l’irrémédiable cruauté du temps.

Si les beautés du Louvre, celles du moins qui ornent les murs, ont parfois des grâces supérieures à celles de la rue Montorgueil, elles pâtissent avant tout de leur permanence. Rien n’est plus éloigné de la violence de la beauté que la molle certitude d’être là à jamais, velléité bourgeoise des musées qui tentent de capitaliser jusqu’aux émotions les plus pures.

L’esthète incandescent n’a pas le temps d’aller au Louvre, qui n’aura pas bougé dans dix ans, quand chaque minute passée loin des terrasses de la rue Montorgueil est une insulte au génie de la race humaine.

Car il faut bien l’avouer, nulle part et en nul autre temps les femmes n’ont été aussi belle qu’ici et maintenant. »

Extrait du "Guide des jolies femmes de Paris" de Pierre-Louis Colin, Ed Robert Laffont - Propos attribué par l’auteur à un Parisien raffiné...

 Voir aussi   Il y a trop de femmes !

Commentaires de l'auteur : 

Un guide invitant à regarder les femmes serait sexiste s'il les enfermait dans leur corps et affirmait le pouvoir des hommes sur elles -le regard pouvant être la première manifestation de ce pouvoir. Ma démarche  ne vise au contraire qu'à louer la liberté des femmes de s'habiller légèrement si elles le souhaitent, d'être jolies si elles en ont envie. Les hommes n'ont qu'à accepter avec gratitude les affolants spectacles qui leur sont parfois offerts. 

Un livre recommandant d'admirer les passantes serait également sexiste s'il invitait à la drague, au nom d'une prétendue disponibilité des femmes court vêtues. Cette équation est vigoureusement condamnée dans mon livre. Mais sous-entendre que la contemplation ludique et respectueuse des femmes témoigne d'un état d'esprit pouvant conduire au viol relève d'une confusion plus grave encore: celle qui confond systématiquement le sexué et le sexuel. 

Si le bonheur éprouvé devant le spectacle d'un corps féminin est forcément sexuel, alors il faut se ranger aux arguments de ceux qui veulent l'interdire, au prétexte plus ou moins sincère de préserver la pudeur de leur fille ou l'honneur de leur mère. Si regarder les femmes est un acte d'agression ou de concupiscence, alors la burqa peut être un attribut féministe légitime. 

Je pense pour ma part que les violences faites aux femmes, qu'elles émanent de vieux bourgeois misogynes ou de jeunes intégristes désorientés, trouvent leur source dans une même incapacité à respecter la liberté de celles qui nous entourent -liberté de porter jupe ou décolleté sans être soupçonnées d'incitation au viol. Reconnaître aux femmes le droit d'être jolies, voire sexy, et apprendre aux hommes à les regarder sans les agresser: ce sont des impératifs démocratiques. 

Pierre-Louis Colin

 Voir aussi   Il y a trop de femmes !

Éloge de la Parisienne au XVIII ème siècle. 

... Louis-Sébastien Mercier, merveilleux auteur du XVIIIème siècle, dans « Les femmes de Paris à l’époque des Lumières » ne peut que constater : « Les femmes à Paris, accoutumées dans les lieux publics à se mêler avec les hommes, ont leur fierté, leur audace et presque leur démarche ». 

Flânant dans les magasins, le nez collé aux vitrines, il s’émerveille du charme des vendeuses et des marchandes, aussi roses que leurs fleurs et aussi brillantes que leurs parures. « Les femmes d’artisans travaillent de concert avec les hommes et s’en trouvent bien » se félicite ce badaud inspiré  qui ajoute, complètement bluffé, : « Les femmes de Paris recèlent les femmes les plus gaies, les mieux portantes et les moins bégueules ! ». Inquiet, cependant, du sort des plus pauvres, ces grisettes qui ont la taille aussi mince que leurs ressources, le bon Mercier supplie le législateur point encore convaincu des bienfaits du travail féminin : « Que les filles soient autorisées à exercer le métier qu’elles choisiront sans maîtrise, sans gêne ni contrainte, sans taxe quelconque.../ Que l’on donne aux femmes la même liberté dont jouissent les hommes, avec qui elles sont incessamment mêlées... » 

Où l’on voit que notre liberté de Parisiennes remonte à loin, tout comme l’humeur gracieuse des hommes qui nous aiment ! Cette aisance à se mouvoir dans la capitale française qui est par ailleurs l’une des villes les plus féminines au monde, nous a été enviée par les femmes du monde entier. Quant aux mâles exotiques, russes ou orientaux, il est clair que le charme légendaire qui les attirait vers la Parisienne tenait moins à sa beauté - peu classique - qu’à son impertinence, fruit spirituel, nacré et dodu des libertés individuelles et collectives... 

Martine Gozlan 

Commentaires

Et au XXI e

Les Américaines se pâment devant sa coupe au bol "so chic", s'enquièrent de la façon "so french" de nouer son foulard autour du cou, s'émerveillent face à son élégance "so parisienne" et jalousent son IMC (indice de masse corporelle) 100 %made in France... Voir "La Française", star en Amérique

Et au Liban... 

Des voiles à faire craquer les femmes 

Coquettes, les Libanaises ont toujours suivi avec passion les créateurs de mode occidentaux. Pourtant, c’est désormais des mille et un modèles de voiles et de foulards qu’elles se sont entichées, et les boutiques s’empressent de répondre à leurs vœux, relate L’Orient-Le Jour...

Djihane et Fatima sont vendeuses dans un magasin de hidjabs de la banlieue. Selon elles, la chute des ventes d’habits traditionnels musulmans, trop dépourvus de fantaisie, reflète un changement des mentalités dans la société libanaise. “Beaucoup de filles qui se voilent cherchent à rester coquettes et à la mode”, expliquent-elles...

Quant aux foulards, il s’en trouve pour tous les goûts et à tous les prix. “Les femmes veulent assortir leur foulard avec leur sac à main, leurs escarpins ou leur rouge à lèvres”, confient Djihane et Fatima. “Une grande partie de mon budget vestimentaire passe dans l’achat de voiles”, confirme May, 21 ans, étudiante en économie. Elle explique que, depuis quelques années, ce sont des dizaines de sites web dédiés aux jeunes musulmanes qui voient le jour. Des designers turcs, notamment, y exposent leurs collections sur des modèles voilés, contribuant ainsi à l’effet de mode. Les touristes des pays du Golfe inspirent aussi les Libanaises, qui raffolent de la façon dont les filles émiriennes portent le voile.

In Courrier International

 

MIDINETTES ???

 

Quelques poèmes

Piégé sur son banc ...

Sur un banc du village il s’était installé
Regardant passer les filles, légères et court vêtues
Pourtant sa vie, il l’avait déjà bien vécue
Mais à tous ces plaisirs il ne pouvait résister
Il était sûr, tout à fait convaincu
Que l’amour effeuillé pendant toutes ces années
Ne pouvait lui enlever le respect
Préservant l’envie de regarder les petits culs
Pourtant chaque fois il pensait et savait
Des comme ça, il en avait attrapé
Cajolées embrassées et souvent étendues
Les poupées ne s’étaient jamais défendues
Il souriait, revivant ses amours passés
Quand une brunette, très légèrement vêtue
Par son âge avancé, plutôt intéressée
Proposa d’emblée son fruit défendu
S’il refusait, sûr, elle serait déçue
Fidèle à lui-même et l’envie qui naissait
Pour plaire à cette belle écervelée
Il nota sur sa liste un prénom de plus …

moiloveless

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

... Hélas de la belle, il n'eut que le prénom,
Car un éphèbe passant, mirant le beau jupon,
L'emmena vers la plage où le soleil dorait
Toute cette belle jeunesse un peu écervelée.

Le vieux se dit alors qu'il avait eu le beau rôle,
Lui pouvait toujours rêver encore à cet amour,
Car la belle épuisant la semence du drôle,
N'était venue là que pour un seul jour.

Je me suis contenté comme j'ai pu,
Si j'aurais su, j'aurais pas venu.

***

chibani

DUO DE MON BALCON. 

Du haut de mon balcon je mate les décolletés 

Des passantes étrangères qui frétillent sous mon nez 

Délivrant sans méfiance une part d’identité 

Qu’elles n’imaginaient pas pouvoir me révéler. 

 

Aucune perversité dans cette pratique ludique 

Aucun mot échangé aucun froissement physique 

Juste la sensation éphémère diabolique 

D’avoir touché des yeux un instant platonique. 

 

Et je mesure ensuite l’intimité violée 

Celle qu’on est seul peut-être à pouvoir partager. 

J’imagine la souffrance des corps ainsi troublés 

Si leurs âmes innocentes pouvaient imaginer. 

 

Et puis je rebondis sous le charme d’un sein 

De cette très jolie femme penchée sur son bambin 

De ce couple joyeux qui se tient par la main 

De la vie qui roucoule et s’écoule à dessein. 

 

Ma rue c’est mes étoiles, mon ciel ma voie lactée 

J’aime piquer du nez quand d’autres l’ont levé 

Pourquoi scruter la lune et les yeux s’abîmer 

La vie est dans la rue et l’essaim animé. 

MADINGRIN

 Ornans le 3 octobre 2011.

Mais pour vous convaincre définitivement de ses qualités, je ne peux mieux faire que la comparer à une femme !
J’ai toujours été frappé par l’utilisation fréquente de noms féminins pour en désigner les variétés
(Comme les Charlottes,  les Mona Lisa ou les belles de Fontenay) ou surtout les modes de cuisson.
Mesdames et chères amies, vous n’êtes pas des pommes de terre,  et cependant…
Que vous soyez en robe de chambre ou en chemise,
Sans pelure ou drapées de Mousseline.
Vous restez  toujours Duchesse ou Dauphines!
Parfois atteintes deVapeur, mais rarement soufflées,
Vous gardez la ligneallumette et la taille noisette !
Vous êtes délicieuse à croquer, tant que vous n’avez pas germé !
Vous êtes délicieuses à croquer, surtout dorées.
Mais meilleures encore quand vous êtes sautées !
Quand de vos maris, j’épluche la conduite,
Je découvre qu’avec vous, ils ont a la frite.
Ils sortent sans pelure, même s’ils pèlent de froid
Pour eux, même si vous n’êtes plus des primeurs,
Vous demeurez d’éternelles nouvelles !
Pour vous, ils se laissent arracher les yeux,
Friper la peau et meurtrir la chair :
Car comme les pommes de terre,
Ils ont des yeux, une peau et une chair !
Sans vous, ils sont dans la purée,
Sans vous, ils en ont gros sur la patate,
Alors que de la société, ils sont le gratin.
Auteur de ce chef d'oeuvre ?

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 Voir aussi   Il y a trop de femmes !

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Et, au quotidien...

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